Economie monétaire et financière I est un module étudié au semestre 3 au FSJES option économie et gestion, ce module est étudié aux autres établissements que l'université celle l'ISTA, ENCG, et d'autres établissements d'économie et gestion. Ce module d'économie monétaire et financière S3 vise a former les étudiants d'économie t gestion afin d'avoir un bon profile d'un économiste. Le cours d'économie monétaire et financière S3 il traiter plusieurs différents chaque chapitre il proposer et expliquer une partie, le support de cours d'économie monétaire et financière I S3 il contient cinq chapitres.
Economie monétaire et financière I S3-L2 : Cours complet (pdf)
Première chapitre : définitions, fonctions et forme de la monnaie, ce chapitre il traiter et proposer plusieurs différents définitions et information, ce chapitre in contient trois section ( définition de la monnaie, les fonctions de la monnaie et les formes de la monnaie) concernant la premier section définition de la monnaie vous allez trouver plusieurs définitions de la monnaie, la deuxième section , les fonctions de la monnaie il expliquer les fonctions classiques qui obtient quatre fonction ( la fonction unité de compte, la fonction réserve de valeur et les fonctions actuelles de la monnaie). pour la troisième sections : les formes de la monnaie, il traiter la phase pré-monétaire qui vous permet de savoir le principe et la définitions du troc, la monnaie marchandise. La phase monétaire ou vous allez savoir la définition et le principe de la monnaie métallique, la monnaie fiduciaire, la monnaie scriptural et la monnaie scripturale.
Deuxième chapitre : La demande de monnaie, ce chapitre il expliquer plusieurs différents informations, commençant par la première section : l'analyse classique (demande de monnaie inexistence et monnaie neutre) après avoir a quoi sert ce dernière vous allez traiter le principe de dichotomie, la loi des débouchés, la théorie quantitative de la monnaie et le raisonnement à long terme et l'analyse en terme réels. Pour la deuxième section de chapitre 2 est l'analyse Keynésiennes ( l'introduction d'une demande de monnaie) dans cette section vous allez étudier savoir q quoi sert les motifs de détention de la liquidité et types de demande de monnaie ( motifs de détention de la liquidité, types d demande de monnaie et la thèse du non neutralité de monnaie. la troisième section est la conception monétariste de la demande de monnaie, dans cette section vous allez voir le demande de monnaie chez FRIDMAN et l'analyse monétariste ( la question de neutralité de la monnaie).
Troisième chapitre : l'offre de monnaie ou la création de monnaie, dans ce chapitre vous allez savoir qui crée la monnaie et comment se créer ?, ce chapitre il traiter la création de monnaie par les établissements de crédit ou banques commerciales (créances sur l'économie, créances sur l'Etat et créances sur l'étranger), l bilan simplifié d'une banque commerciale, la banque de dépôt crée de la monnaie scripturale. La deuxième partie dans ce chapitre c'est la création de monnaie par la banque centrale pour savoir la banque centrale créée de la monnaie à l'occasion de trois types d'opérations. pour la dernier partie est la création de monnaie par le Trésor et les composants de la masse monétaire (l'agrégat de monnaie, les agrégats de placements liquides) et les contreparties de la masse monétaire.
Quatrième chapitre : la politique monétaire, dans ce chapitre vous allez savoir la définition de la politique monétaire pour la première partie de ce chapitre est les objectifs de la politique monétaires ( l'objectif final et les objectifs intermédiaires) la deuxième partie est les instruments de la politique monétaires, lorsque on parle aux instruments du contrôle quantitatif ( le réescompte, l'open market, les réserves obligatoires et l'encadrement du crédit), pour la dernière partie dans ce chapitre est l'évolution de la politique monétaire (la période 1995-1972, la période 1973-1976, la période 1967-1983, les années 80 et les années 90).
Le dernière chapitre ( 5éme) : le système bancaire marocain, dans ce chapitre vous allez trois grandes axes le premier c'est les mutations du système bancaire et financiers marocain qui traiter l'ère d'avant l'indépendance, au lendemain de l'indépendance, a partir des années de 70 et a partir des années de 90. le deuxième axe est les principales étapes dans l'histoire de la bourse des valeurs et pour le dernier axe dans ce chapitre est les grandes axes de la reforme boursière de 1993.
Tous ces chapitres et axes cités ci-dessus dans l'article vous allez les trouver d'une manière bien détaillée et expliquée dans le support ci-dessous.
Support de cours
Chapitre 1 : développement durable.
Section 1 : généralités sur le développement durable.
A_ Notion de développement
Le développement qui peut être défini comme la satisfaction des besoins fondamentaux de l’homme est un processus cumulatif de long terme. Le développement est donc le processus par lequel un pays est capable de connaître une croissance durable, autonome et convenablement répartie entre groupes sociaux et entre individus.
Dans ce contexte le développement a une dimension économique, c’est a dire une croissance mais qui est loin d’être suffisante.
Depuis sa popularisation par le rapport Brundtland en 1987, le concept de développement durable a quitté le giron des écologistes et des spécialistes de l'environnement pour faire son entrée dans la vastearène des débats publics. S'en réclament aujourd'hui non plus seulement les conversationnistes, mais bien les ministères2, les organisations internationales comme l'OCDE ou la Banque mondiale et même les grandes sociétés 3. Cet engouement va jusqu'à se traduire par une institutionnalisation précoce dans des textes normatifs de toutes sortes 4. À titre d'exemple, la récente loi québécoise sur la régie de l'énergie stipule que: « Dans l'exercice de ses fonctions, la Régie favorise la satisfaction des besoins énergétiques dans une perspective de développement durable » 5.
1. Le développement économique et social
Le développement qui peut être défini comme la satisfaction des besoins fondamentaux de l’homme est un processus cumulatif de long terme. Le développement est donc le processus par lequel un pays est capable de connaître une croissance durable, autonome et convenablement répartie entre groupes sociaux et entre individus.
Dans ce contexte le développement a une dimension économique (la croissance), mais qui est loin d’être suffisante.
Le développement a aussi une dimension éthique et sociale. C’est Sen, prix Nobel économie en 1999, qui a introduit la dimension éthique dans la notion de développement. Chaque homme a droit à la dignité. C’est le principe de la dignité de la personne humaine selon lequel un être humain doit être traité comme une fin en soi. Ce principe est fondamental dans le cadre de la coopération, car il impose le respect de l’autre, de ces différences, de ces valeurs. Malheureusement, il est souvent absent.
Mais, les pays dit développés servent de référents. Pour se développer, il faut imiter ceux qui ont débuté leur processus de développement économique il y a plus d’un siècle en s’industrialisant. Cette idée est largement répandue faisant du développement des activités économiques, notamment industrielles, la voie unique de développement. C’est une approche linéaire du développement : les sociétés doivent franchir plusieurs étapes, de la société traditionnelle à la société de consommation, passage obligé pour atteindre un état de maturité. Cette analyse en terme de transition, de la tradition vers la modernité, revient à constater que tous les systèmes économiques évoluent dans un processus de développement comparable et, de ce fait, nie la multiplicité et la richesse des organisations socio-économiques des pays du Sud.
2. Le développement durable.
La notion de développement durable est d’origine anglo-saxonne, forgé par l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature en 1980, il fut réellement vulgarisé en 1987 par le rapport Brundtland de la commission mondiale pour l’environnement et le développement de l’ONU.
Selon le rapport Brundtland, un développement durable doit répondre aux besoins du présent, sans compromettre la capacité des générations à venir de répondre aux leurs et correspond au devoir des générations actuelles de transmettre un monde vivable, viable et reproductible. Le droit au développement doit satisfaire équitablement les besoins relatifs au développement et à l’environnement. Cette approche repose, en grande partie, sur la notion de patrimoine naturel composé d’un ensemble de ressources renouvelables, et non renouvelables, qui ont été léguées par les générations passées et qui devront être transmises dans le même état, et si possible bonifiées, aux générations futures.
3. Le développement à la base et l’approche participative.
Le développement à la base n’est pas une notion nouvelle, elle est apparue dans les années 1930 dans le cadre de la coopération française en Afrique. Le développement à la base peut se définir comme étant un processus par lequel une société, à un moment de son histoire, s’organise pour une meilleure mobilisation et une meilleure utilisation des ressources et forces dont elle dispose, en vue d’atteindre un état jugé meilleur par elle-même conformément à ses aspirations et ses normes culturelles.
A travers le discours officiel, le développement à la base apparaît, non seulement, comme une philosophie d’action mais aussi comme un objectif stratégique s’appuyant sur un certain nombre d’idées fortes. Le développement à la base est perçu comme une condition nécessaire au développement, car c’est un développement centré sur les besoins fondamentaux des populations et sur leur propre capacité d’organisation.
Le développement à la base et l’approche participative sont deux notions à la mode chez les opérateurs du développement. Les opérateurs voient dans l’approche participative un mode d’intervention nouveau répondant aux préoccupations réelles des populations et capable de promouvoir le développement à la base. Les projets de développement doivent être conçus et exécutés par les collectivités de base, notamment par les villages. Le but visé est l’implication d’un nombre significatif de personnes dans des actions visant leur bien-être.
B_ les trois piliers de développement durable.
Les trois piliers du développement durable
Il ne faut pas se limiter aux idées reçues comme quoi le développement durable est uniquement limité à la protection de l’environnement. En réalité, ce concept se repose sur 3 grands piliers qui sont dépendants les uns des autres, dont une dimension environnementale, une dimension sociale et une dimension économique.
La dimension environnementale
Il faut arrêter de se dire que les ressources naturelles ne s’épuiseront jamais et que la nature s’arrangera pour nous fournir de l’eau et d’autres ressources jusqu’à l’éternité. Dans ce concept du développement durable, il faut penser à économiser et préserver les ressources naturelles. Il est aussi important de se concentrer sur la protection de la biodiversité en maintenant la variété des espèces de la faune et de la flore. Le développement durable lutte également contre le changement climatique et ceci se traduit par la limitation des émissions du CO2.
La dimension sociale
Le développement durable touche également le domaine social par la lutte contre l’exclusion et les discriminations. Il contribue activement à la réduction des inégalités sociales tout en valorisant chaque territoire. Chaque personne doit se sentir bien dans sa peau et la communauté ne devra pas exclure certaines personnes pour leur origine, pour la couleur de leur peau ou encore pour leur situation sociale
Section 2 : développement durable écologique.
A_ définitions.
Le terme écologie
vient de oikos (maison, habitat) et logos (science) : c'est la science de la maison, de l'habitat. Le terme écologie fut inventé en 1866 par Haeckel, biologiste allemand pro-darwiniste. Il désignait par ce terme : " la science des relations des organismes avec le monde environnant, c'est à dire, dans un sens large, la science des conditions d'existence. " Une définition souvent admise de l'écologie est la science qui étudie les conditions d'existence des êtres vivants, et les interactions de toutes sortes qui existent entre ces êtres vivants d'une part, entre ces êtres vivants et le milieu d'autre part. Le milieu, ou l'environnement, appartient pour tout ou partie, à trois milieux fondamentaux : atmosphérique (air), aquatique (eau) et édaphique (sol). Le terme écosystème a été formulé plus tardivement en 1935 par A.G. Tansley, par contraction de l'expression anglaise "ecological system". Un écosystème* est un système biologique formé par un ensemble d'espèces associées, développant un réseau d'interdépendances dans un milieu caractérisé par un ensemble de facteurs physiques, chimiques et biologiques permettant le maintien et le développement de la vie. Selon ces facteurs, les écosystèmes sont constitués de combinaisons d'espèces (micro-organismes, plantes, champignons, animaux et bien sûr homme) plus ou moins complexes. La partie du globe terrestre où se concentre la vie, est la biosphère. Elle est le domaine de vie de l'être humain et des autres êtres vivants et regroupe l'ensemble des écosystèmes : forestier, montagneux, aquatique, marin, etc.
Le terme environnement* recouvre de nombreuses acceptions. À l'origine, il s'agit d'un anglicisme signifiant milieu. C'est le milieu dans lequel un être vivant fonctionne ; le milieu incluant l'air, l'eau, le sol, les ressources naturelles, la flore, la faune et les êtres humains. L'environnement est aussi, à un moment donné, l'ensemble des facteurs physiques, chimiques, biologiques et sociaux susceptibles d'avoir un effet direct ou indirect, immédiat et futur sur les êtres vivants et les activités humaines. Ce terme tend à être perçu très différemment en fonction, en particulier, des catégories socio-professionnelles. Un industriel verra dans le terme environnement une référence à "pollution", un cadre pensera plutôt "cadre de vie", un artisan ou commerçant "ville", un agriculteur "voisinage", un employé "nature", une administration "gestion des déchets, nuisances sonores, etc. " Le terme environnement est contesté par la majorité des écologistes, qui y voient une connotation trop anthropocentriste. D'après le code de l'environnement (article L110-1), les espaces, ressources et milieux naturels, les sites et paysages, la qualité de l'air, les espèces animales et végétales, la diversité et les équilibres biologiques auxquels ils participent font partie du patrimoine commun de la nation.
B_l'entreprise en tent qu' acteur écologique (cas d'une maison d'hotes a tighmert ).
Toutes les activités économiques ont un double impact sur l’environnement : elles y puisent des ressources naturelles (matières premières, énergie, eau, sol, etc.) dont elles ont besoin pour fonctionner et y rejettent des déchets (eaux usées, fumées, poussières, etc.). De cette manière, elles contribuent à la dégradation de l’environnement.
« Le développement (l’activité humaine actuelle) se fabrique avec de l’environnement (de la nature).Toutes les matières premières et ressources naturelles entrant dans une économie se retrouvent tôt ou tard dans les émissions ou dans les déchets rejetés dans l’environnement. Tout kilo de matière dans un produit fini représente en fait bien davantage de ressources et énergies prélevées par l’Homme dans l’environnement. »
Pour mieux schématiser les impacts d’une entreprise sur l’environnement, on distingue les « entrants » et les « sortants ».
Les « entrants » sont les ressources naturelles et matières premières qui entrent dans l’entreprise et sont utilisées lors des processus de fabrication et lors du fonctionnement quotidien.
Les « sortants » sont tous les éléments qui sortent de l’entreprise. Il ne s’agit pas uniquement des produits finis, mais aussi des déchets et des pollutions sous forme de rejets solides, liquides, gazeux et de nuisances acoustiques, visuelles et olfactives.
Ce qui est valable pour les entreprises industrielles l’est aussi pour les entreprises qui fournissent des prestations de services. Les entreprises du secteur tertiaire utilisent aussi de l’énergie, de l’eau, des produits, des fournitures de bureau… et génèrent des déplacements, des rejets et des déchets et émettent ainsi des émissions polluantes.
Ce schéma montre qu’il s’agit d’un fonctionnement en cercle fermé :
1: L’environnement procure les ressources naturelles.
2: L’Homme exploite les ressources naturelles fournies par l’environnement.
3:Les ressources naturelles constituent la base des procédés de fabrication.
4:Lors de ces procédés, les ressources sont transformées en produits finis.
5: En même temps, des rejets (solides, liquides, gazeux) sont émis et des nuisances (acoustiques, visuelles et olfactives) se font ressentir à l’intérieur et à l’extérieur de l’entreprise.
6:Les résidus de procédés de fabrication quittent l’entreprise sous forme de déchets.
7: Les rejets, nuisances et déchets dégradent l’environnement et contribuent à la perte de la qualité de l’eau, de l’air et des sols ; à la perte de la biodiversité et au réchauffement climatique. En même temps, ils affectent le bien-être des travailleurs et des riverains et nuisent à la santé humaine.
8:Un environnement affecté par la pollution produira moins de ressources naturelles.
C_ pourquoi avoir une politique développement durable dans l’entreprise.
Mettre en place une politique développement durable dans son entreprise : l’une des clefs du succès, Aujourd’hui, l’écologie sert principalement à qualifier l’impact que l’homme a sur son environnement. Il existe aujourd’hui plusieurs façons d’être « écologique » et de réduire son empreinte sur l’environnement : gestion des déchets, choix des énergies renouvelables au détriment des énergies fossiles, habitat écologique, commerce équitable, développement durable, santé, alimentation, etc… Chacun est concerné mais il est également important que les entreprises s’engagent dans la voie de l’écologie et du développement durable en réduisant leur impact sur l’environnement.
En effet, quelle que soit leur activité, les entreprises ont un impact important sur l’environnement. Elles consomment des matières premières, des ressources naturelles, de l’eau, de l’énergie. Elles utilisent des moyens de production et de transport qui ont des répercussions directes sur l’environnement. Enfin, elles emploient des personnes pour réaliser toutes ces différentes tâches. Le fonctionnement de l’entreprise a donc des conséquences importantes sur l’environnement économique, social et environnemental tant au niveau de sa consommation, du cycle de vie des produits fabriqués, ou des conditions de travail.
L’entreprise, dans sa stratégie de développement, doit donc tenir compte de ces éléments. De plus, s’engager dans la voie d’une politique développement durable présente de nombreux avantages pour une entreprise :
Pour ses employés :
Ceux-ci sont d’autant plus motivés à travailler dans une entreprise qui tient compte de leurs conditions de travail. L’entreprise peut aussi mettre en place un système de management environnemental qui respecte les valeurs sociales et implique son personnel dans la démarche entreprise.
Pour ses clients :
Les clients voient leurs besoins pris en compte et apprécient l’entreprise pour son engagement écologique.
Pour son image de marque :
C’est un excellent moyen pour l’entreprise de valoriser son image de marque. En s’engageant dans une démarche de développement durable, elle montre qu’elle est capable de s’adapter au nouveau contexte économique, social et environnemental et accroît ainsi sa notoriété auprès du public.
Support de cours format pdf
Cours de semestre 3 économie et gestion
1. Cours de problèmes économiques et sociaux
2. Cours de comptabilité analytique
3. Cours de marketing de base
4. Cours d'échantillonnage et estimation
5. Cours d'introduction à l'étude de Droit
Support d'économie monétaire et financière I S3
- Résumé de d'économie monétaire et financière I S3
- Exercices de d'économie monétaire et financière I S3
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