Présentation
Le module d'introduction aux sciences économiques et à la gestion est parmi les modules étudiés au semestre 1 filière droit en français, alors ci-dessous vous allez trouver des examens d'introduction aux sciences économiques et à la gestion S1, pour plus des examens de droit en français vous pouvez le traper sur la barre de recherche ou voir le menu de site web...
Examens d'introduction aux sciences économiques et à la gestion S1
Examen n°1
Faculté des Sciences Juridiques,
Économiques et Sociales
Filière : Droit en Langue
Française
Semestre 1 Module 6
Test : Introduction aux sciences économiques
et à la gestion
« Choisir la bonne réponse y a une possibilité d'avoir une seule réponse ou deux réponses »
Économiques et Sociales
Filière : Droit en Langue
Française
Semestre 1 Module 6
Test : Introduction aux sciences économiques
et à la gestion
« Choisir la bonne réponse y a une possibilité d'avoir une seule réponse ou deux réponses »
Q1. L’économie signifie :
A. la règle de la maison.
B. l’art de bien gérer son patrimoine.
C. la science des choix irrationnels.
D. l’administration de la cité.
Q2. L’analyse en économie est :
A. microéconomique.
B. macroéconomique.
C. mésoéconomique.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q3. Au sens économique, la rareté c’est lorsque:
A. les biens ne suffisent pas à satisfaire tous les besoins.
B. les biens ne sont pas reproductibles.
C. les biens ne sont pas abondants.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q4. Un bien est dit économique, s’il est :
A. utile mais existe en nombre limité.
B. produit grâce au travail humain.
C. échangé sur le marché.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q5. Les besoins peuvent :
A. varier dans le temps et dans l’espace.
B. être personnels.
C. être collectifs.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q6. La consommation peut prendre deux formes :
A. une consommation présente ou future.
B. une destruction de ressources immédiate ou future.
C. une consommation finale ou intermédiaire.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q7. Le calcul de la valeur ajoutée prend en considération les consommations intermédiaires qui englobent :
A. la rémunération des salariés ;
B. les charges sociales ;
C. les achats de matières premières.
D. les impôts.
Q8. D’après John Maynard Keynes :
A. l’Etat a un rôle à jouer dans le domaine
économique pour pallier les défaillances des marchés.
B. le rôle de la monnaie est accessoire dans le maintien de l’équilibre.
C. l’investissement constitue le remède spécifique au chômage involontaire.
B. Le fonctionnement du système économique doit être pris dans son ensemble.
Q9. Chez les mercantilistes :
A. l’enrichissement est une fin louable.
B. l’intérêt personnel conduit à la prospérité générale.
C. les métaux précieux expriment la richesse des nations.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q10. Le modèle néoclassique :
A. condamne toute intervention de l’Etat.
B. considère l’agriculture la seule activité réellement productive.
C. utilise le raisonnement à la marge qui est en termes de différentielles.
D. prône pour un impôt unique.
Q11. Selon Karl Marx :
A. l’organisation capitaliste de la société aboutit à l’exploitation de la population.
B. les décisions des agents économiques ne sont pas coordonnées.
C. le capitalisme crée une armée de réserve industrielle entraînant la baisse du pouvoir d’achat de l’économie.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q12. Le rôle joué par l’État :
A. selon les mercantilistes, l’État a un rôle primordial en mettant en place des politiques protectionnistes.
B. selon les classiques, l’État ne doit pas intervenir dans l’économie.
C. selon les physiocrates, l’État doit jouer un rôle minimal limité aux fonctions régaliennes.
D. selon Keynes, l’État a le devoir et le pouvoir de mettre en place des politiques de stabilisation.
Q13. Economie positive et économie normative :
A. l’économie normative tente de définir comment le monde devrait être.
B. seule l’approche normative permet d’adopter une démarche scientifique en économie.
C. l’économie positive cherche à expliquer le monde tel qu’il est.
D. l’analyse positive s’appuie sur des jugements de valeur.
Q14. Parmi les étapes de la démarche méthodologique, la formulation des hypothèses se situe :
A. après l’observation de la réalité.
B. avant l’observation de la réalité.
C. après la distinction entre les aspects essentiels et secondaires.
D. après vérification du modèle économique
Q15. L’approche systémique de l’entreprise appréhende l’entreprise comme :
A. une unité de production marchande.
B. une unité de répartition de la valeur ajoutée.
C. un système organisé.
D. un système finalisé.
Q16. La structure fonctionnelle :
A. repose sur l’absence de l’unité de commandement.
B. fait appel à des organes de conseil pour orienter les chefs fonctionnels.
C. oblige les subordonnés à recevoir les ordres d’un seul chef hiérarchique.
D. toutes les réponses sont justes.
Q17. Le circuit économique décrit :
A. les opérations économiques entre les ménages et les entreprises.
B. les opérations économiques entre l’Etat et l’extérieur.
C. les opérations économiques entre les institutions financières et les ménages.
D. Les opérations entre les différents agents économiques.
Q18. La production :
A. consiste à créer des biens et services.
B. correspond à la valeur des biens et services qui quittent le territoire national.
C. peut être soit marchande, soit non marchande.
D. toutes ces réponses sont justes.
A. la règle de la maison.
B. l’art de bien gérer son patrimoine.
C. la science des choix irrationnels.
D. l’administration de la cité.
Q2. L’analyse en économie est :
A. microéconomique.
B. macroéconomique.
C. mésoéconomique.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q3. Au sens économique, la rareté c’est lorsque:
A. les biens ne suffisent pas à satisfaire tous les besoins.
B. les biens ne sont pas reproductibles.
C. les biens ne sont pas abondants.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q4. Un bien est dit économique, s’il est :
A. utile mais existe en nombre limité.
B. produit grâce au travail humain.
C. échangé sur le marché.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q5. Les besoins peuvent :
A. varier dans le temps et dans l’espace.
B. être personnels.
C. être collectifs.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q6. La consommation peut prendre deux formes :
A. une consommation présente ou future.
B. une destruction de ressources immédiate ou future.
C. une consommation finale ou intermédiaire.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q7. Le calcul de la valeur ajoutée prend en considération les consommations intermédiaires qui englobent :
A. la rémunération des salariés ;
B. les charges sociales ;
C. les achats de matières premières.
D. les impôts.
Q8. D’après John Maynard Keynes :
A. l’Etat a un rôle à jouer dans le domaine
économique pour pallier les défaillances des marchés.
B. le rôle de la monnaie est accessoire dans le maintien de l’équilibre.
C. l’investissement constitue le remède spécifique au chômage involontaire.
B. Le fonctionnement du système économique doit être pris dans son ensemble.
Q9. Chez les mercantilistes :
A. l’enrichissement est une fin louable.
B. l’intérêt personnel conduit à la prospérité générale.
C. les métaux précieux expriment la richesse des nations.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q10. Le modèle néoclassique :
A. condamne toute intervention de l’Etat.
B. considère l’agriculture la seule activité réellement productive.
C. utilise le raisonnement à la marge qui est en termes de différentielles.
D. prône pour un impôt unique.
Q11. Selon Karl Marx :
A. l’organisation capitaliste de la société aboutit à l’exploitation de la population.
B. les décisions des agents économiques ne sont pas coordonnées.
C. le capitalisme crée une armée de réserve industrielle entraînant la baisse du pouvoir d’achat de l’économie.
D. toutes ces réponses sont justes.
Q12. Le rôle joué par l’État :
A. selon les mercantilistes, l’État a un rôle primordial en mettant en place des politiques protectionnistes.
B. selon les classiques, l’État ne doit pas intervenir dans l’économie.
C. selon les physiocrates, l’État doit jouer un rôle minimal limité aux fonctions régaliennes.
D. selon Keynes, l’État a le devoir et le pouvoir de mettre en place des politiques de stabilisation.
Q13. Economie positive et économie normative :
A. l’économie normative tente de définir comment le monde devrait être.
B. seule l’approche normative permet d’adopter une démarche scientifique en économie.
C. l’économie positive cherche à expliquer le monde tel qu’il est.
D. l’analyse positive s’appuie sur des jugements de valeur.
Q14. Parmi les étapes de la démarche méthodologique, la formulation des hypothèses se situe :
A. après l’observation de la réalité.
B. avant l’observation de la réalité.
C. après la distinction entre les aspects essentiels et secondaires.
D. après vérification du modèle économique
Q15. L’approche systémique de l’entreprise appréhende l’entreprise comme :
A. une unité de production marchande.
B. une unité de répartition de la valeur ajoutée.
C. un système organisé.
D. un système finalisé.
Q16. La structure fonctionnelle :
A. repose sur l’absence de l’unité de commandement.
B. fait appel à des organes de conseil pour orienter les chefs fonctionnels.
C. oblige les subordonnés à recevoir les ordres d’un seul chef hiérarchique.
D. toutes les réponses sont justes.
Q17. Le circuit économique décrit :
A. les opérations économiques entre les ménages et les entreprises.
B. les opérations économiques entre l’Etat et l’extérieur.
C. les opérations économiques entre les institutions financières et les ménages.
D. Les opérations entre les différents agents économiques.
Q18. La production :
A. consiste à créer des biens et services.
B. correspond à la valeur des biens et services qui quittent le territoire national.
C. peut être soit marchande, soit non marchande.
D. toutes ces réponses sont justes.
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