Il y a 7 modules étudiés au cours du semestre 1 filière économie et gestion, parmi ces modules y a l'introduction à l'économie S1, ce module vise à donner pour les étudiants une idée générale sur l'économie, le module d'introduction à l'économie S1 son rôle est de donner une idée d'à quoi sert et au quoi parle l'économie.
Les étudiants de semestre 1 en tant que cette semestre est la première au parcours de la licence, y a pas mal des questions qui se posent tel, à quoi sert le module d'introduction à l'économie ? Quelle est la différence entre le cours et le résumé d'introduction à l'économie ? Ce module il est théorique ou pratique ? Quels sont les chapitres traités au niveau du résumé d'introduction à l'économie ? Comment on peut maîtriser le module d'introduction à l'économie S1 ? Ci-dessous vous allez trouver les réponses de ces questions ajoutant le support de résumé...
Introduction à l'économie S1-L1 : Résumé
À quoi sert le module d'introduction à l'économie ?
Chaque module a son but au semestre lorsqu'on parle au introduction à l'économie on parle à un module qui donne pour l'étudiant une idée sur le domaine de l'économie..
Quelle est la différence entre le cours et le résumé d'introduction à l'économie ?
Le cours et le résumé d'introduction à l'économie ont le même rôle de former les étudiants au niveau de ce module, les deux traitent les mêmes chapitres la différence est que les informations au niveau du résumé sont moins que le cours en plus que les informations sont bien résumées par rapport au cours...
Ce module il est théorique ou pratique ?
On ne peut pas dire que ce module il est purement théorique ou pratique c'est pour cela vous devez savoir la manière de votre professeur, mais dans sa globalité le module d'introduction à l'économie reste un module théorique.
Quels sont les chapitres traités au niveau du résumé d'introduction à l'économie ?
Concernant les chapitres qui sont traités au niveau du résumé sont les mêmes que le cours, on commençant par le première chapitre nature de l'activité économique et objet de la science économique ce chapitre contient trois partie, le premier est qu'est ce que l'économie ? Le deuxième les besoins illimités et les biens limités Pour la troisième partie est la science économique méthodes et préoccupations.
Le deuxième chapitre traité au niveau du résumé d'introduction à l'économie et les grands courants de la pensée économique ce chapitre aussi contient trois différents parties commençant par la première sous le titre de les courants fondateurs de la pensée économique en passant à la deuxième la pensée économique contemporaine et enfin les systèmes économiques.
Pour le dernier chapitre est l'économie et les autres sciences ce chapitre aussi se devisent en trois parties comme les deux chapitres précédents, la première partie l'économie de l'environnement la deuxième partie l'économie sociale et pour la dernière partie l'économie géographique.
Ces trois chapitres qu'on a mentionner ci-dessus sont le chapitres traités au niveau du résumé d'introduction à l'économie S1.
Comment on peut maîtriser le module d'introduction à l'économie S1 ?
Pour maîtriser le module d'introduction à l'économie il suffit de maîtriser les supports qu'on a publiés au site, en commençant par le cours et résumé avant de faire les exercices et les examens d'introduction à l'économie.
Support de résumé d'introduction à l'économie
Le support contient tous les résumés de tous les chapitres de A à Z , d'une manière bien résumée que le cours, vous pouvez télécharger le fichier ci-dessous
Chapitre1 - Objets et méthodes de la science économique
I- Domaine de la science économique
I.1- Quelques problèmes économiques:
Toutes les sociétés et à travers toutes les époques de leur existence ont fait face à différents problèmes et de différents natures : guerres, épidémies, chômages, inflation, Etc.
Ces problèmes ne sont pas tous essentiellement économiques mais peuvent avoir de diverses dimensions : politique, religieuse, philosophique, etc., et qu'en conséquence ne relèvent pas exclusivement de la spécialité des économistes.
On pourrait, toutefois, réparer les problèmes qui affichent une dimension économique dominante.
L'essentiel du travail des économistes est de comprendre, d'analyser et de résorber ces fléaux empêchant le bon fonctionnement de la société et son développement. Ainsi quatre volets ne sont pas à prendre de vue pour le bien être de toute économie:
-
1- plein emploie (adopter une politique de lutte cont le chômage);
-
2- stabilité de prix (adopter une stratégie contre la hausse rapide des prix qui touche le pouvoir d'achat);
-
3- croissance économique (la production évolue positivement à travers le temps accroître la richesse
nationale);
-
4- l'équilibre extérieur (l'équilibre de la balance des paiements est une garantie de la santé de l'économie
nationale).
Ces quatre principaux objectifs économiques constituent ce que l'appel le carré magique. Il est magique au sens où la difficulté de l'élaboration de politiques économiques bien ciblées sur l'un de ces quatre objectifs.
I.2- Comment définir la science économique?
La première définition d'après ce qui dite précédemment :
« La science économique est une science qui s'intéresse à l'étude et l'analyse les problèmes économiques ».
Par ressources il faut entendre:
- Ressources naturelles : terres, forêts, eaux, minéraux, etc. - Ressources humaines phy et intellectuelles.
- Autres ressources : machines, outillages, etc.
Ces ensemble des ressources qui s'appellent "facteurs de production" sont utilisées pour créer des biens et services dont ce qu'on appel "la production".
Ces biens et services sont fabriqués pour répondre aux nombreux besoins des millions d'individus composant la société.
L'utilisation de Ces biens et services s'appelle la consommation.
Les besoins des individus sont illimités et variables, ils se renouvellent à travers le temps et apparaît d'autres nouveaux besoins. Ainsi que l'individu ou la société ne peut satisfaire tous ces besoins a un moment donné.
Les ressources dont dispose l'individu ou la société sont malheureusement "limitées" ils se posent le problème de "la rareté".
Face à cette rareté, la société décide de choisir la production des biens prioritaires et sa quantité déterminée.
Toutes les sociétés sont obligées de prendre un choix d'augmenter la taille de production par rapport le niveau limité des ressources.
Le choix adopté par la société lié à un coût s'appelle "Coût d'opportunité".
Ce dernier est la satisfaction qu'aurait procurée le choix qui est meilleur possible parmi tous les autres choix disponibles.
A travers les trois concepts (Rareté, choix et coût d'opportunité", on aboutit à une 2ème définition de la science économique:
“La science économique est une science qui s'intéresse aux problèmes de l'affectation des ressources rares à des fins alternatives et concurrentes”.
I.3- Classifications des problèmes économiques
La majorité des problèmes étudiés par les économistes appartient à des classes de problèmes soulevés par des questions suivantes:
-
- Quels sont les biens économiques à produire et en quelle quantités?
-
- De quelle manière seront-ils produits?
-
- Comment les repartir entre les membres de la société?
-
- N'y a-t-il pas de gaspillage de ressources?
-
- Le pouvoir d'achat reste-t-il stable à travers le temps?
-
- La capacité de production augment-t-elle à travers le temps?
I.4- Analyse et politique économique :
Tous les Etats mettent en œuvre des politiques économiques. Toute Action de politique économique présente deux aspects :
-
- Le décideur cherche à atteindre les fins ;
-
- Les moyens à l’aide desquels les objectifs fixés seront atteints.
Le gouvernement poursuit plusieurs objectifs politiques de manière simultanée : la justice sociale, la sécurité nationale, le progrès et la stabilité économique, etc.
L’analyse économique sensée apporter des réponses à quatre principales et aidant le décideur à prévoir les conséquences de chacune de ces décisions :
-
1- Quel sont les objectifs à poursuivre ?
-
2- Les moyens pour atteindre sont-ils suffisants ?
-
3- Ces moyens ont-ils des effets « secondaires » contraires aux objectifs ?
-
4- Parmi les moyens disponibles, n’existe-t-il pas de meilleurs
II- l'économie plutôt une science sociale :
La science économique s'intéresse à l'étude du comportement de l'homme.
II.1- Qu’est-ce qu’une approche scientifique ?
Une approche scientifique consiste à interprété la réalité. Face a un problème, le scientifique demandera quelle sont les preuves pour et contre. En fonction du poids des preuves dont il dispose, le scientifique va prononcer avec plus ou moins de conviction sa position sur le sujet.
Cette approche du problème est ce qui distingue la recherche scientifique d’autre recherche. Après reformulé la question, le scientifique sera capable de faire des observations qui confirmeront ou infirmeront l’hypothèse de départ.
II.2- Economie positive et économie négative :
Il importe de distinguer deux approches de la science économique :
- L’approche positive concerne les explications objectives ou scientifiques du fonctionnement de l’économie, pour expliquer comment la société prend des décisions qui ont trait à la consommation, la production et l’échanges des biens et services.
- L’approche normative donne des prescriptions et des recommandations basées sur des jugements de valeurs personnels.
II.3- Microéconomie et macroéconomie :
- La microéconomie traite les activités particulières de l’économie telles que les décisions individuelles portant sur un consommateur, un producteur, un marché et un bien ou service.
- La macroéconomie traite les variables économiques globales que l’on appel des agrégats macroéconomiques. Exemple : Le produit intérieur brut, le niveau général des prix, le taux de chômage, etc.
III- Méthodes de la science économique :
L’observation : elle consiste à collecter des informations relatives à la question étudiée sur une période suffisamment longue pour mesurer l’évolution d’une variable économique et pouvoir effectuer des comparaisons géographiques ou sectorielles.
-
L’explication : elle est essentiellement de deux types microéconomique et macroéconomique (voir II.3)
-
La prévision : elle consiste de prévoir les réactions des individus face à des décisions économiques.
Les problèmes économiques relèvent de plusieurs disciplines :
-
- La Sociologie et la Psychologie : Les motivations et les comportements économiques des individus
sont déterminé par les normes et valeurs dominantes des sociétés dans lesquelles ils vivent.
-
- La Science politique : les décisions économiques sont influencées par les doctrines de diverses
parties politiques du pays.
-
- Le Droit : contient des dispositions qui définissent le cadre général de l’activité économique (droit de
travail, droit commercial, droit fiscal, etc.)
Sur le plan des méthodes, l’économie politique fait l’appel à deux disciplines :
-
- Les Mathématiques : permettent aux économistes la formalisation de relations entre variables économiques et les calculs d’optimisation.
-
- Les statistiques : permet de tester l’intensité de ces relations sur le plan théorique et d’évaluer la probabilité d’aboutir aux résultats escomptés.
-
Chapitre2 - Les courants de la pensé économique
I- Le mercantilisme :
Il recouvre un ensemble de doctrines et de pratiques politiques et économiques.
Il explique que la puissance de l'État résulte de l'enrichissement de la nation, qui est obtenu par le développement de l'industrie et du commerce, par un excédent commercial et une accumulation de métaux précieux.
II- La physiocratie et l’émergence du libéralisme :
Elle menée par François Quesnay, qui construit un tableau économique qui décrit le revenu dépensé pour assurer la circulation de la richesse produite.
Les enseignements du tableau sont multiples :
-
- En premier, il faut stabiliser le prix du blé à niveau satisfaisant.
-
- Le deuxième enseignement est nécessaire d'élargir le marché de blé afin qu'il puisse absorber les
surplus de production des années de bonne récolte, pour alimenter le pays les années de mauvaise
récolte.
-
- Le troisième est la dépense doit être maîtrisée et l'impôt ne doit être payé par les propriétaires
fonciers.
III- Les courants classiques et la critique marxiste:
1- Le courant classique :
"Adam Smith"(1723-1790) économiste anglais, c'est le père de l'économie politique.
Les économistes classiques sont libéraux; c'est une doctrine qui affirme le caractère fondamental de la liberté individuelle dans les domaines politiques et économiques et qui s'oppose à toute forme d'intervention de l'Etat.
1.1-Les principes de base du courant classiques:
Ce courant basé sur des principes telle que:
- Laisser les producteurs et les consommateurs d'agir en toute liberté et autonomie.
- défendre le commerce international des échanges restrictions tarifiaire et qualificative instaurés à l'encontre des produits étrangers.
- l’échange des marchandises est réglé par la proportion des quantités de travail que leur production économique.
1.1.1- Liberté individuelles : (les individus doivent bénéficier d'une totale autonomie dans les organisations
et dans leur propre existence.)
???? Donner la liberté totale aux individus d’agir par leurs propres initiatives sans faire face à des obstacles
par une autorité supérieurs.
-
Les individus doivent bénéficier d’une totale autonomie dans leurs organisations.
-
Laisser fonctionner librement le marché.
1.1.2- Primauté du marché : (Liberté de marché : la libre concurrence, le marché est le seul élément régulateur de l'activité économique).
-
Atomicité des intervenants « Grand nombre d’offreurs et demandeurs » ;
-
Transparence de l’information ;
-
Mobilité des facteurs de production ;
-
Homogénéité des produits ;
-
Libre entrée et libre sortie du marché (fluidité) ;
-
Le marché est le seul élément régulateur de l’activité économique.
1.1.3- Non à l’interventionnisme : (le libre-échangistes entre les pays, éliminer les frontières).
Le rôle de l’Etat doit être réduit au rôle de maintien de l’ordre publique tel que : la justice ; sécurité ; défense ;...
1.1.4- Non à protectionnisme : (Le rôle de l'État doit être réduit au rôle de « gendarme »).
-
Chaque individu doit être libre de fonder une entreprise et vendre ses produits.
-
Etre libre d’exprimer ses goûts et préférences ;
-
Chaque pays doit se spécialiser dans la fabrication des produits.
1.1.5- Les classes sociales : (classe de propriétaires, classe des entrepreneurs capitalistes et classes des travailleurs.)
2.
-
La classe des propriétaires fonciers qui sont en possessions des terres. (Perçoit une rente foncière) ;
-
La classe des entrepreneurs capitaliste qui fournissent le facteur « capital ». (donner un profit) ;
-
La classe des travailleurs qui fournissent le facteur « travail », perçoit un salaire en contrepartie du
facteur de production.
1.2-Les lois économiques :
-
a) La loi des avantages comparatifs de David Ricardo (1772-1823) ;
-
b) La loi des débauchés de Jean Baptiste (1767-1842) ;
-
c) La loi naturelle de l’évolution de la population de Thomas Robert Malthus (1766-1834)
-
d) La loi des rendements décroissants.
Avoir une division du travail fondée sur l’avantage relative
Chaque paye doit se spécialiser dans la production en utilisant les facteurs de production, dont il dispose en abondance ;
« l’offre créé sa propre demande » ; « les produits s’échangent contre des produits » ; Correspond à la baisse de la productivité marginale
Correspond à un certains état des techniques.
Critique marxiste : (1818-1883)
L’analyse de Karl Marx est une critique de la pensée économique de son époque. Marx procède à une analyse critique du système de production capitaliste de trois points :
-
Il réfute l’existence de ces lois économiques naturelles ou universelles ;
-
Chaque société à ses propres particularités et spécifiés ;
-
Il considère le système capitaliste comme n’étant qu’une phase d’un processus historique général,
alors que pour les classiques c’est plutôt un aboutissement.
-
Il donne une explication dialectique et matérialiste, donc non naturelle de l’évolution des sociétés.
-
Il critique le secret du profit, et la dynamique du capitalisme ; l’exploitation du travailleur qui possède
la force de travail par le capitaliste qui achète cette force du travail.
IV- Le courant néoclassique et l’approche Keynésienne :
1- Le courant néoclassique :
Définition : Les néoclassiques expliquent les comportements des agents économiques en vue de l’allocation optimale des ressources rares à usages alternatifs en adaptant la microéconomie comme base de leur analyse économiques.
1.1- Les principes néoclassiques :
a) Raisonnement marginal :
-
Se correspond à l’analyse microéconomiques ;
-
Ils cherchent la quantité globale et s’attachent au calcul économique des unités individuelles.
b) Rationalité économique :
-
L’individu est capable de classer les choix possible par ordre de préférence.
-
L’individu cherche le maximum de satisfaction.
c) Valeur – utilité :
-
La valeur d’un bien est déterminée par son utilité pour celui qui la demande.
-
C’est une valeur subjective et physiologique.
d) L’équilibre-économiques :
L’égalisation de l’offre et la demande et le prix d’équilibre.
-
- L’équilibre partiel : considérer le marché d’une manière séparé.
-
- L’équilibre général : envisager tous les marchés simultanément.
1.2- Les écoles néoclassiques :
Le courant néoclassique est le fruit de différentes écoles de pensée partagent une méthode d’analyse basé sur le raisonnement à la marge, une formalisation mathématique des comportements économiques des agents.
- École de Lausanne:
Cette école regroupe tous les économistes qui sont dans la ligne de Leon Walras. Elle met l'accent sur l'intérêt général et le concept d'optimum. On l'appel aussi "École de l'équilibre général" ou "école mathématique de Lausanne".
- École autrichienne:
Elle est née à Vienne par l'impulsion de Karl Menger. Ces principaux auteurs sont : Ludwig Von Mises (1881-1973) ; Freidrich Von Wieser (1851-1926).
- École de Cambridge:
Cette école propose une théorie de l'équilibre partiel qui va s'intéresse aux équilibres des agents économiques et aux équilibres des marchés.
2- Approche Keynésienne :
-
Il défend surtout une intervention de l’état dans l’économie
-
L’approche est macroéconomique
a) Analyse macroéconomique :
L’analyse porte sur des agrégats économiques tels que :
-
- PIB : agrégats de la comptabilité nationale représentant la somme de toutes les valeurs ajoutées créé
par les différentes branches de l’économie pendant une année.
-
- PNB : agrégats regroupant l’ensemble des valeurs ajoutées réalisées par les secteurs institutionnels
nationaux sur le territoire et à l’étranger.
-
- La monnaie est considérer comme un instrument actif ayant des fonctions propres et qui peut faire l’objet d’une offre et demande comme tous produit sur le marché et avoir un prix, le taux d’intérêt.
-
- Revenue national brut ;
-
- L’offre globale ;
-
- Demande globale ;
-
- Investissement globale ;
-
- L’épargne globale ;
-
- Emploi ;
-
- Chômage ;
-
- Inflation ;
-
- Etc.
b) Rôle actif de l’Etat :
-
L’Etat est un agent économique qui doit intervenir au sein de l’activité économique, surtout du côté de la demande.
-
L’Etat doit encourager les producteurs et les consommateurs à adapter telle mesure économique.
Chapitre 3 - Les acteurs économiques :
I- Qu’est-ce qu’un acteur économique ?
En peut définir les acteurs économiques comme :
-
- Une catégorie homogène ;
-
- Individus ou un regroupement des individus, qui composent une société ou un centre de décision
indépendant.
-
- Construire un centre de décision économique indépendant
La comptabilité nationale classée les acteurs économiques en sept catégories sont les suivants :
1- Les catégories d’acteur :
Les ménages :
C’est l’ensemble des personnes qui vivent au sein d’un même logement, qui composent une famille et ayant leur autonomie ;
-
- Sa fonction principale : la consommation ;
-
- Leurs ressources principales : la rémunération et prestations sociales
Institutions financières :
-
- Sont des organismes financiers comme la banque centrale, les banques commerciales, la bourse, les sociétés de crédit ...
-
- Ses fonctions principales : financement de l’économie par collecter les fonds et accorder des crédits.
Sociétés non financières :
Sont des organismes spécialisés au produire des biens et services pour a but de réaliser les bénéfices. - Fonction principale : de produire des biens et services marchands.
- Leurs ressources : la vente de leur production.Sociétés d’assurance :
Ce sont des sociétés dont la fonction de faire face aux risques collectifs ou individuel pour la futures.
- Fonction principale : transformer la charge du risque individuelle en charge collective en garantissant le
versement d’une somme en cas de réalisation d’un risque. - Leurs ressources : les primes versées par leur client.
Administrations publiques :
-
- Fonction principale : Produire des services non marchands et prélèvent des impôts et des cotisations sociales obligatoires.
-
- Leur ressource : prélèvent les cotisations sociales et les impôts
Les types des administrations publiques :
- Les administrations publiques centrales : Les universités ;
- Les administrations publiques locales : chambre de commerce, les lycées ; - Les administrations publiques de sécurité sociales : Prestations socialesAdministrations privées :
Sont des institutions de but lucratif au service des ménages ;
- Fonction principale : Produire des services non marchands destinés à des groupes privés.
- Leurs ressources : proviennent des dons, des subventions et des contributions volontaires des ménages.
Le reste du monde :
- C’est le monde externe qui répond aux besoins de la comptabilité nationale (il accord à l'État par des exportations et des importations).
- Elle sert à faire apparaitre des opérations entre les acteurs économiques d’un pays et ceux d’autre pays dans le monde.
2- Opérations sur les biens et les services :
-
La production : créer des biens et des services, marchands et non marchands.
-
Consommation intermédiaire : c'est la valeur de la transformation des matières premières en
matière produits ou semi produite entré dans processus de production.
-
Consommation finale : la valeur finale des biens et des services qui sont utilisés pour satisfaire
directement les besoins des consommateurs.
-
L’investissement : la valeur des biens durables acquérant, elle destinés à être utilisé pendant une
période relativement longue.
-
Importations et Exportations : la valeur des biens et services échangés par l’économie nationale
avec le reste du monde.
-
Valeur-ajoutée : permet de rémunère les salariés, de payer les différents impôts liés à la production,
la taxe sur la Valeur Ajoutée (T.V.A.).
3- Opération de répartition:
-
Rémunération du salaire: Salaires bruts et cotisations sociales aux charges des employeurs.
-
Les revenus de la propriété et de l'entreprise: sont les loyers, les intérêts, les redevances des
brevets
-
Les impôts liés à la production et d'importation: Droits de douane, la TVA, la taxe
professionnelle, et d'autres impôts indirects.
-
Les subventions d'exploitation : ce sont des dons versés par les administrations publiques aux
entreprises pour le soutien de l'activité économique.
-
Les opérations d'assurance dommages : Concernent le paiement des primes et le versement des
indemnités pour le règlement des sinistres (accident, incendie, vol, etc.).
-
Les transferts courants sans contrepartie: Impôts sur les bénéfices des entreprises, impôts sur le
revenu, les cotisations et prestations sociales, etc.
-
Les transferts en capital: Les subventions d'investissement, impôts sur le capital.
4- Opération de financement:
Relations entre les créanciers (Prêteurs ou agents à capacité de financement), les débiteurs (emprunteurs ou agents ayant un besoin de financement) et les organismes financiers (actions et obligations)
II- Les entreprises et la production
II.1- Les facteurs de production:
a- Le facteur de travail
Il correspond à l'ensemble des activités manuelles et intellectuelles qui correspond à la production des biens et services.
b- Organisation du travail
1- Le taylorisme:
Relative à Taylor, ingénieur américain qui a mis au point les principes de l'organisation scientifique du travail. Le but est d'améliorer l'efficace du travail et de réduire les pertes de temps et les gestes inutiles dans l’activité productive. Ce qui s’est traduit par :
-
- Une séparation et décomposition des tâches en opération simples
-
- Un chronométrage du temps par tâche ;
-
- Un salaire à la pièce.
2- Le fordisme :
Relative à Ford, constructeur américain d’automobiles. Cette forme d’organisation du travail base sur le travail à la chaine et à un salaire encourageant.
À partir de 1970 on commençait à sentir le début de la crise du fordisme à cause de la volonté des salariés d’améliorer leurs conditions du travail.
3- Le toyotisme
Relative à Toyota, firme japonaise célèbre, le toyotisme s’est développé en réponse à la crise du fordisme. Le principe de ce système est basé sur la polyvalence des salariés. Chaque ouvrier doit être capable de réaliser l’ensemble des opérations nécessaire à la fabrication.
c- Facteur capital
1- Types de capital :
On distingue entre :
-
- Le capital circulant : il s’agit des consommations intermédiaires.
-
- Le capital fixe : il correspond à tous les autres biens qui continuent à servir dans plusieurs processus
productifs : terrain, bâtiments, machines.
2- Investissement :
Il correspond à l’acquisition ou la création de capital fixe. On distingue entre :
-
- Investissement de remplacement (ou renouvellement) : c’est le remplacement des matériels et
outillages usés par de nouveaux ;
-
- Investissement de capacité (ou d’extension) : il permet à l’entreprise d’accroitre leur potentiel de
production ;
-
- L’investissement de productivité (ou de modernisation) : il destiné à permettre aux entreprises de se
doter de machines plus performantes et modernes réalisant des économies de travail et ou d’énergie.
d- Propriétés des facteurs de production :
1- La divisibilité
Un facteur de production est parfaitement divisible quand on peut le fractionner infiniment petites.
2- La substituabilité :
Deux facteurs sont substituables lorsqu’ils peuvent être combinés dans des proportions différentes pour obtenir un même résultat.
3- La complémentarité :
Deux facteurs sont complémentaires quand la technologie impose une combinaison donnée de facteurs de production et ne permet pas une substitution entre les facteurs.
e- Facteurs fixes et facteurs variables :
1. Facteurs fixes :
Il s’agit d’un facteur dont la quantité ne peut pas être augmentée dans un délai très bref pour augmenter la production (usines, bâtiments, etc.)
2. facteurs variables :
Facteur dont la quantité peut être augmenté très rapidement pour augmenter la production (énergie, matières premières, etc.).
II.2- Les entreprises
a- Entreprises privées :
-
Entreprises individuelles : un seul propriétaire, pas de personnalité juridique, pas de patrimoine propre.
-
Sociétés privées : plusieurs associés qui mettent en commun un patrimoine, disposent d’une personnalité morale : société à responsabilité limitée (SARL) et société anonyme (SA) notamment.
-
Entreprises coopératives : permettent à plusieurs producteurs de créer une organisation qui leur fournit des services communs tout en conservant l’autonomie de leur entreprise.
b- Entreprises publiques
Entreprises appartenant en totalité ou en partie à l’Etat ou aux collectivités locales :
-
Société d’économie mixte : sont des sociétés lesquelles l’Etat détient une part du capital social ;
-
Nationalisation : lorsque l’Etat prend la totalité du contrôle d’une entreprise privée.
-
Privatisation : lorsque une entreprise nationale vend son capital à des actionnaires privés
c- Secteur d’activité
Secteur primaire :
Toutes les activités liées directement à l’exploitation du milieu naturel et producteur de matières premières. Il considère un secteur à progrès technique moyen.
???? Secteur secondaire :
Regroupe les industries, bâtiments, travaux publics des activités extractives. Il considère un secteur à progrès technique rapide.
Secteur tertiaire :
C’est une activité de services (commerce, banque, transport, etc.) Il considère un secteur à progrès technique lent.
Secteur quaternaire :
c- Concentration de l’entreprise :
1- Les types de concentration :
-
Concentration horizontale : Regroupement d’entreprises qui fabriquent le même produit ;
-
Concentration verticale : Regroupement d’entreprises qui une complète l’autre d’un processus de production ;
-
- En amont : l’entreprise prend le contrôle d’une partie de ses fournisseurs (maitrise d’approfondissement).
-
- En aval : l’entreprise prend le contrôle d’entreprises clients (maitrise de distribution).
Concentration conglomérale : regroupement d’entreprises
2- Les modalités de concentration :
-
La fusion : L’entreprise réunie leur patrimoine pour former une seule entreprise
-
L’absorption : Une entreprise intègre les avoirs d’une ou plusieurs autres entreprises.
-
La prise de partition financière : une entreprise prend des parts dans les avoirs d’une autre entreprise.
III- Les ménages et la consommation :
Les revenus des ménages sont répartir entre la consommation et l’épargne. La consommation correspond à tous les dépenses en biens et services réalisés par les ménages au but se satisfaire leurs besoins, ce qu’on appelle la consommation finale.
La partie qui n’est pas affectée à ces dépenses constitue l’épargne.III.1- Instrument d’analyse de la consommation :
a- Influence dus prix :
1- Effet de substitution :
Il s’agit des biens qui peuvent satisfaire d’un même besoin dont la fonction de leur prix. (Bien chère remplacer en partie ou en totalité par autre moins chère et qui satisfait le même besoin, donc il s’agit de biens substituable entre eux).
2- Elasticité de revenu :
C’est le rapport entre le pourcentage de variation de la demande d’un bien ou service et le pourcentage de la variation de son prix.
Elle permet de mesurer l’intensité entre la fluctuation de réaction des consommateurs et la variation des prix. % de la variation de la demande d’un bien % de la variation du prix de ce bien
Elasicité ???? prix ???? % de la variation de la demande d' un bien % de la variation du prix de ce bien
Interprétation :
- L’augmentation du prix d’un bien conduit à la baisse de se demande, donc l’effet du prix sur la demande étant négatif.
3- Types de liens entre biens :
Différents liens existent entre les biens :
-
La substituabilité : deux biens satisfirent le même besoin
-
La complémentarité : deux biens sont complémentaires s’ils sont simultanément nécessaires à la
satisfaction d’un même besoin.
-
L’indépendance : deux biens sont indépendants s’ils ne concourent pas à la satisfaction d’un même
besoin mais à des besoins différents.
Pour déterminer la nature du lien on peut calculer l’élasticité-prix croisée :Elasticité prix croisée ???? % de la variation de la demande d'un bien % de la variation du prix d'un autre bien
Interprétation :
-
- Pour les biens substituables, l’élasticité-prix croisée est positive, parce que la hausse du prix de l’un incité à augmenter la consommation de l’autre.
-
- Négative pour les biens complémentaires : La hausse du prix d’un bien pénalisera la demande des autre biens.
-
- Nulle pour les biens indépendants.
-
b- Influence du revenu :
La réaction des consommateurs en ce qui concerne leurs comportements d’achats suite aux variations de leurs revenus peut-être mesuré par l’élasticité-revenu :
Elasticité revenu ???? % de la variation de la demande d'un bien % de la variation du revenu
Interprétation : Si :
-
- 0 < l’élasticité-revenu ≤ 1 : Biens normaux (on trouve les biens élémentaires comme l’alimentation, l’habillement, etc.); La hausse du revenu des ménages entraîne une élévation proportionnelle ou moins que proportionnelle da la demande de bien avec l’augmentation du niveau de vie.
-
- l’élasticité-revenu > 1 : Biens supérieur (on trouve les biens de luxe et les services de grande qualité comme la santé, la communication, loisirs, etc.) ; L’augmentation de revenu des ménages provoque une augmentation plus que proportionnelle de la demande avec l’augmentation de niveau de vie.
-
- l’élasticité-revenu < 0 : Bien inférieurs (il s’agit des biens ou services de qualité très faible et abandonner par les ménages qui ont une situation financière s’améliore) ; la demande de ces biens est diminué rapidement avec l’augmentation du revenu.
III.2- Intérêts de l’épargne :
a- Motifs d’épargne :
-
- Le désir d’économiser en vue d’effectuer des achats très importants (logements, terrain, etc.)
-
- La constitution d’une réserve face à l’incertitude de la future (chômage, maladie, crises, etc.)
-
- La constitution ou le développement d’une affaire (entreprise par exemple).
b- Rôle économique de l’épargne :
L’épargne est la source de financement et de l’investissement. Il ne peut y avoir de croissance économique sans une épargne nationale suffisante. Il conduit à une augmentation des richesses nationales et d’une distribution supplémentaire de revenus.
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